Il y a des jours comme ça. On a beau avoir tout prévu, verrouillé les impondérables, revu dans le détail tout le matos et là, paf, la tuile, le truc évident pourtant à côté duquel on est passé et qui conditionne le résultat de la sortie. Ce soir, c'était la marée montante qui m'a empêché de pêcher le spot convoité. Grrrr. Le spot de secours (puisque je vous dis que j'avais pris mes précautions !!!) lui était inaccessible pour cause de jussie.
La malédiction du tardigrade ligérien frappait encore l'infortuné. Quelle indignité. Mais il en fallait plus pour m'abattre. En effet, j'avais un Plan C car je suis désormais habitué aux coups de semonce d'un destin farceur. Heureusement car l'heure tournait et je n'étais pas loin de l'extinction des feux.
Ouf. C'était mal barré pourtant cette affaire. Quand je pense que j'étais à deux doigts de faire l'impasse sur les leurres souples. Quelle buse...
Sans leurres souples, disons le, c'était la bredouille sans appel. Pas une touche aux leurres durs, la misère. Bref, encore une partie de pêche rapide pas terrible mais cette arrière saison semble manquer de folie.
Franchement, c'est vraiment pas la joie de sauver la bredouille dans le dernier quart d'heure en plein dans la salle flottante mais que voulez vous, on a pas toujours, voire jamais, le temps de faire mieux ces temps-ci.
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