À l'issue de ces quelques heures d'embarras gastriques assez peu glamour, disons le mot, il était temps de reprendre forme sinon olympique du moins à peu près humaine pour tenter envers et contre tout d'attraper un poisson ou deux. Mais induits en erreur par une fielleuse chaîne météo vendue aux intérêts des vendeurs de mouchoirs en papiers et aux dealers d'inhalateurs pour nez bouchés, nous sommes arrivés au bord de l'eau sous une pluie battante. Cela commence diablement à ressembler à une malédiction, non ? Trempés, dégoulinants, humidifiés à point, nous avons par chance trouvé refuge chez des autochtones assez tolérants quant à nos tenues vestimentaires tenant plus de la serpillière en burn-out que de l'échappé de la fashion week.
Pour être tout à fait précis, mon comparse, lui, a eu droit à une coupe en règle sur un one UP.... Chartreuse, certes, mais vous subodorez le sens profond de mes propos, j'en suis sûr. Depuis lundi, je n'ai pris des poissons qu'avec un seul leurre. Ça vaut le coup de se diversifier, tiens !!!
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