Ben ouais, il commence à faire son âge, le besogneux de la rotule grinçante. Du coup, en fin de semaine, après une grosse journée, Pépėre, il en peut plus. Il lui faut en tenir une bonne couche, tiens, pour aller trainer au bord de l'eau, dans le vent riche en saloperies diverses et par un cagnard insupportable. Mais c'est sa conduite addictive à lui, le pinsage compulsif.
Ouf, la bredouille est évitée en moins d'un quart d'heure, ce qui constitue un motif rêvé pour plier les Gaules et rentrer se reposer.
Entre temps, j'aurais eu le privilège d'apprendre par la PQR que tout va bien...
Enfin... Presque.
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