Après l'épopée, n'ayons pas peut des mots, de jeudi, mes articulations demandaient grâce et par un hasard heureux, j'avais des occupations ne me laissant guère le loisir de taquiner les Poissons des alentours. Deux jours de relâche dans mon état de déliquescence, c'était le minimum syndical. Mais en ce dimanche clôturant un weekend prolongé au delà de toute décence et, l'oisiveté étant la mère de tous les vices, du coup plus que productif en excès en tous genres mais surtout de ceux qui vous font douter de l'existence de Dieu (narco-fusillades, pandémonium de camping-cars sur les aires de repos et déroute du football club de Nantes à domicile), j'avais une rapide occasion de pêchouiller un spot découvert par hasard il y a deux ou trois semaines. Sauf que patatras... Il y a plus d'eau, ma bonne dame !!!
Damnation. Le coin est passé de bucolique à salement chiasseux en 15 jours. Bon, maintenant que je suis là, je vais quand même y mettre deux trois coups de leurre, hein.
Ah ouais. Bon. Super. Ce n'est pas aujourd'hui que je vais casser des briques, on dirait...
Bref, après la prise facile de quelques micro bass supplémentaires, je me transporte un peu plus loin, sur les bords d'un lac servant à soutenir le niveau d'un canal breton célèbre et qui, dans mes souvenirs brumeux, grouillait de perches et de brochets. Las !!! Le lac, à la surface déjà mouchetée de cyanobactéries fait la gueule : pas plus de 50 centimètres de profondeur à la bonde, ça ne sent vraiment pas bon pour cet été.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire