N'en déplaise au comité des Experts Facebook qui, après avoir brillamment démontré que le COVID était une hallucination collective, que le grand remplacement avance voilé derrière une couscoussière et que le brave Vladimir Poutine n'a pas tous les torts, semble vouloir insister sur le fait que les canicules, comme tout finalement, c'était mieux avant, je me sens fondé à déclarer qu'on crame littéralement sur place en ce dernier week-end de juin, tout en me rappellant que l'avant-dernier n'était pas mal non plus. En 2003, c'était tendu, certes, mais j'avais 22 ans de moins. À un moment, qu'on le veuille ou non, ça compte.
Demain, à 9 heures du matin, la météo annonce un joyeux 27 degrés à l'ombre. Ça promet. Bordel. Surtout que dans les coins où je serai demain matin, de l'ombre, il y en a autant qu'il existe de chances qu'on diagnostique subitement une hypermnésie aiguë à François Bayrou. Je vais finir dans un sale état et je ne serai pas le seul. Tenir. Tenir jusqu'à jeudi. Sans tuer un climato-sceptique sénéscent et me garder les restes pour le goûter (oui, j'ai fait option dystopie pratique en SVT).
Sinon, tranquille, toujours rétrogradé au statut de fantassin par la grâce de mon cascadeur indigène dipsomane, j'ai encore une semaine à me fader avant de partir en congés. Je suis par contre assez déçu par ma canne voyage aliexpress (seconde déception pour un achat de canne en Chine, ce qui est peu sur une douzaine d'achats), elle n'est pas terrible mais bon, je n'ai plus le temps de trouver une solution alternative. Un aller-retour en train ne permet guère de fantaisie. Ce matin, à la fraîche, j'ai remis le museau dans les bricolages.
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