Mais quelques tasses de café noir plus tard, le baroudeur des pampas, l'aventurier des marigots, le fléau des perchettes en fleur était bel et bien de retour. Comme à mon habitude, je suis retourné sur le spot désormais habituel où je persécute les pin's avec une opiniâtreté obsessionnelle.
Évidemment, à cinq heures et quelques, je suis le maître absolu des lieux, errant dans une ville fantôme tel un Rick Grimes en villégiature. L'air est quasiment frais. C'est le bonheur. D'entrée de jeu, je prends du poisson sans forcer.
J'essaye même un montage double pour éventuellement assurer quelques doublés mais cela ne fonctionnera pas vraiment vu que je prendrais toutes les perches sur le leurre terminal.
Cependant je maintiens une bonne cadence de touches malgré un fort taux de décrochage dû pour l'essentiel à la taille modeste des attaquantes.
Renonçant au mode doublette, je reviens à la politique du Shad unique et c'est immédiatement payant : une surprise se pend illico à mon Arawuna 2" Supercontinent (dont il va falloir remonter les stocks).
C'est l'heure des gros qui sonne. Je vais vite m'en rendre compte en enregistrant six casses en trente minutes !!! Plus que depuis tout le début de saison !!! Un gros chevesne inattendu tout d'abord, impossible à droper, puis, truc de malade, cinq casses de.... Silures attaquant des leurres de cinq centimètres en plein courant. De la folie...
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