Aujourd'hui, par une sorte d'incongruité flirtant dangereusement avec l'hédonisme le moins en phase avec la productivité nécessaire au redressement économique de notre pays gangrené par le cancer de l'assistanat, je ne travaillais pas le matin. Cool me dis-je donc en mettant à profit ce vocabulaire horriblement lacunaire dont m'ont fait hérité les bandes dessinées, MTV et les syndicats d'enseignants socialo-marxistes immigrationistes non genrés que dénonce avec une louable constance le Jean-Hérold Paquis de Cnews, le toujours bonhomme Pascal Praud.
C'est de bonne heure que j'ai dignement descendu les escaliers pierreux ayant connu Michel Drucker jeune, vers la fin du rėgne des Valois donc si j'en crois sa page wikipédia. Bon, bien évidemment, les perches du coin n'ont pas fait de poussée de croissance. Par contre, malgré un vent d'est bien réfrigérant, ça mord à fond. J'ai même poussé le vice jusqu'à réitérer mon exploit eurélien en prenant un gardon au Power Tail ✌️
En ce qui concerne les leurres, j'avais prévu large mais l'eau est tellement basse que ce sont les sempiternels shads en 2" qui ont eu l'honneur de se faire croquer.
Bref, une sortie de deux heures bien productive, pour le nombre de touche s'entend. Mais l'essentiel n'est pas là car au moment de quitter les lieux, il m'en est arrivée une bien bonne...
En effet, alors que je dandinais sans trop de conviction mon one up kesfishing dans un petit courant, c'est un silure d'une trentaine de kilos qui l'a gobé. Bordel à queue. S'en est suivi un bon décrassage de bobine avant l'implacable casse finale. Cet acte antipinsiste ne peut rester impuni. Sachez que je n'aurais de repos que lorsqu'il aura expié cet ignoble forfait et, cela va sans dire, lorsque j'aurais récupérés tête plombée et leurre souple. Car faut pas déconner non plus.
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