Après avoir perdu le nord, je me devais d'être à l'ouest derechef. En effet, non content d'avoir renoué brièvement avec ce bon vieux covid (mais en version allégée cette fois ci, ouf), c'est une fois de plus un nouveau départ qui s'impose à moi. Passons sur les détails scabreux de l'affaire (car, vous pouvez me croire,la tardigradite chronique qui me frappe depuis trois décennies, c'est pas marrant) sans parler de leurs conséquences aussi désastreuses que soudaines. Pour résumer les choses de façon elliptique, j'en ai pris bien plein la gueule et croyez-moi, ça réveille... Pas de panique, l'intendance suivra. Après tout, on a le droit à l'erreur, non ?
Du coup, quoi de plus indiqué pour fêter mon célibat, mon chômage et mon retour en Loire-Atlantique qu'une virée au Maillochistan, rude contrée où le droit coutumier autorise la pendaison préventive des propriétaires de trottinette électrique ? Pas grand chose, je le crains. Surtout que j'ai enfin pu pêcher la Charente, rivière mythique. Bon, il est vrai que la pauvre n'est plus que l'ombre d'elle-même avec cette année de sécheresse dantesque mais c'est joli et il y a certainement moyen de prendre du poisson même si c'est difficile dans des conditions d'étiages pareilles.
Pour le reste de la semaine, nous avons en compagnie de l'inénarrable Mailloche, ainsi que d'innocentes victimes, arpenter le marais à la recherche du mythe des lieux... Le black-bass record.
Oui, je sais. Il va falloir procéder à quelques ajustements...
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