Alors que le moment tant attendu nous tend ses tentacules (si vous me pardonnez cette métaphore céphalopodophile), que la veillée d'armes nous ramène à cette introspection soudaine et terrifiante ("Ai-je donc mildiou acheté assez de leurres pendant la fermeture ?"), un simple incident peut changer votre destinée de laborieux pinseur. La pièce nécessaire à la réparation de mon fringant coupé sport n'arrivera que lundi prochain. Le coup est rude. Heureusement, la facture redoutée ne sera pas aussi douloureuse que mon pessimisme forcené le laissait envisager. Mais en attendant, s'il y a une tentative d'aller à la pêche de ma part ce week-end, ce sera sur place. Ouille ouille ouille. Bon, on va s'adapter mais pour demain, ça sera sans moi. Dimanche, à la rigueur, si je parviens à me motiver, sait-on jamais...
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