samedi 28 novembre 2020

Le déconfinement extatique : enfin presque...

Un irresponsable au masque ne protégeant que son gros menton en galoche de traitre visqueux
pour télénovela a profité du rallongement de sa laisse de 19 km supplémentaires et d'un soleil
timide pour s'en aller chatouiller les perchettes d'une rivière francilienne bien basse...


Bon, ben, voila. J'ai tiré sur ma laisse. A l'extrême limite de mon rayon d'action légal et dérogatoire. Et c'est pas top. La rivière est plus basse qu'en juillet. Une tête plombée d'1,5 gramme y est trop lourde.
 

Elle fait du bien cette perche sortie de haute lutte
des flots tumultueux d'un des majestueux rios du Hurepoix.

Mais bon, après des mois de douleurs affreuses à marcher sur une fracture, suivis d'un confinement de kermesse, cela fait du bien de retrouver l'air libre, l'eau vive et les hordes de blaireaux sans masques se massant en troupeaux annonciateurs de Troisième Vague. Personne pour leur expliquer ? Vraiment ?



2 commentaires:

  1. Comment dire ? Il n'y a plus d'eau et la Mairie dans son infinie sagesse a fait couper toute végétation dépassant des palplanches. Du coup, les hérons du PNR ont dû faire bombance, fumiers de volatiles gloutons, tiens. Il reste bien quelques petits chevesnes dans le peu d'eau qui subsiste. Rien qui puisse hélas justifier en temps normal de bouffer du gasoil...

    Si j'avais eu l'audace de défier la maréchaussée rurale avec la superbe d'un Louis Dominique Cartouche du pinsage pré-hivernal, je serai allé traîner du côté du Glyphosatistan. Mais je suis un pleutre dissimulant sa bassesse sous un bonnet difforme et un masque bleu.

    Heureusement qu'une perche charitable, embusquée dans une fosse de 30 centimètres de profondeur, a jugé bon de coffrer mon "swing impact" aliexpress parfum crevette intense ;-)

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