Parmi les nombreux défauts qui ont le don de faire de moi un être si attachant que je suis interdit administrativement de donjon bondage dans 17 pays européens, un des plus gênants reste que, malgré mon âge avancé, j'exerce encore de loin en loin une activité (chichement) salariée. L'an passé, mon ancien employeur m'avait généreusement offert en récompense de mon ardeur méritoire de stakhanoviste du bitume de quoi enrichir la famille Mulliez. Cette année, par contre, je n'ai eu que 40 euros. Heureusement que je suis à deux minutes du site de distribution des cartes cadeaux. Si j'avais dû me taper 50 bornes aller-retour, j'aurais été en droit de couiner...
Comme vous le déduisez à la vue de la photo du dessus, j'ai effectivement claqué ce pécule colossal dans des achats superfétatoires quand on n'ignore point mon stock pour le moins pléthorique. Les Easy Shiner lime chart étaient à 30% de réduction mais je sais que ce n'est qu'une excuse fragile. Quant aux Yubari, c'était l'occasion de tester des coloris.
En attendant un prochain retour à la pêche, voilà de quoi un peu anticiper sur l'esprit de Noël...
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