On ne va pas se raconter d'histoires. Il arrive que nos sorties-pêche ne se déroulent pas de façon optimale. Surtout si toutes les écluses du marais sont ouvertes, que les couches rivalisent de lâché de sédiments et qu'il pleut avec une régularité désespérante. Aujourd'hui, vendredi, cela a été le cas. J'ai échappé à la stigmatisante bredouille grâce à cet unique bass rikiki. Effroyable, non ?
Ainsi que pour cette perchette coupable d'une faiblesse fatale pour un Tanta délicatement dandiné dans le courant par un des maîtres ligériens de la spécialité. Mais au risque de me répéter, aujourd'hui était un jour sans, annonçant probablement les prochaines sessions difficiles sous l'ondée, dans la boue et confrontant le vieux birbe au froid de saison lui rappelant l'état désastreux de ses articulations.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire