Oui, je comprends votre désarroi face à ce titre à la complexité digne d'une chanson d'Aya Nakamura écrite par les frères Bogdanof. Mais il est de mon devoir d'éveiller les consciences en portant le fer dans le vif du problème et puis, entre nous, c'est ça ou me faire foudroyer sur les berges glissantes d'une rivière en crue, alors zut, quoi, à la fin...
Je profite donc de cette journée particulièrement néfaste à une pratique apaisée du pinsage pour mettre à jour toutes ces photos prises lors du week-end d'ouverture exotique que j'ai passé au Maillochistan, un petit pays riche de ses traditions et surtout, on ne le répétera jamais assez, une terre de contraste entre tradition et modernité, même si la scène hiphop y est assez limitée en raison de l'autorisation d'abattage préventif des utilisateurs d'auto-tune autochtones.
Comme quoi, hein, l'existence de la guillotine et son exercice de plein droit, sans compter le bagne de Guyane, était-ce une chose vraiment dissuasive ?
Ou alors, attention, j'avance une hypothèse hardie, les êtres humains ne seraient-ils pas depuis l'aube des temps des gros cons uniquement motivés par des buts égoïstes et ne reculant ni devant la violence ni devant l'application décomplexée de la connerie pure pour y parvenir ?
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