Et oui, comme par hasard, ces premiers jours de janvier sont placés sous le signe de la pluie diluvienne et de son corollaire, la brusque montée des eaux dans mon périmètre immédiat de bredouillisation intensive.Si je vous disais que de surcroît j'ai bénéficié de quatre jours de repos consécutifs sans avoir eu à poser un seul jour de congé mais je ne peux pas aller à la pêche en raison des berges inondées, des flots boueux tumultueux et de ces menues douleurs rhumatismales qui font tellement pour renforcer ma démarche de grand fauve dominateur irradiant un magnétisme animal de vieux mâle de plus de 50 ans, vous ne croiriez pas. La tardigradite poussée à un tel raffinement, non, ce n'est plus crédible. Mais je prends les choses avec un certain recul : quelques jours de repos, serait-il forcé, ne sont jamais à dédaigner. Le seul écueil de ce farniente domiciliaire reste le shopping en ligne, ce péril hivernal qui fait tellement pour remplir nos boîtes de leurres. Un craquage sur aliexpress m'a poussé, le bougre, à faire l'emplette de nouveaux poissons-nageurs à truite (comme si j'en avais la moindre nécessité...). Ils sont jolis tout plein et pas chers. Moins de 10 euros le quinquet, si ça ne vend pas du rêve aux économiquement faibles, ça, je veux bien m'appeler Jordan Hanouna. Mais seulement la nuit d'Halloween, qu'on soit clair là dessus !!!
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| Un beau chevesne pris en finesse dans un des majestueux rios du Muscadetistan. |
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| Un duo qui devrait plaire aux brochets... |
Car ce n'est pas tout ça, non non non. C'est que c'est reparti pour un tour. D'autant plus que dans quelques mois, ce blougue fêtera ses dix années d'existence. Ce sera une excellente occasion pour célébrer dans la joie et la bonne humeur cette épopée pleine de bruit et de lunkers qui aura tant fait pour la reconnaissance de la culture keuploute et la vente de Côtes du Rhône.




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