Il y a un moment où il faut bien se résoudre à admettre cette vérité première : nous sommes certes des animaux sociaux mais à la condition que l'on y trouve notre compte. C'est à dire le plus souvent une compensation flattant bassement notre égo. Ce blougue au final n'a pas pour seul et unique objectif de vous faire transférer vos maigres devises vers le système bancaire chinois à renforts d'achats compulsifs dictés par mes suggestions sournoises. Désolé Sherlock. En effet, son principal objectif est et reste de satisfaire mes perversions narcissiques inavouables. Oui, je sais, je comprends, c'est monstrueux de duperie mais que voulez vous, mes loulous, la vie est dure, courte et parfois entrecoupée de rediffusions de Sissi Impératrice. A moins que vous ne soyez un vieux célibataire passant la majorité de ses congés en slip sur son canapé. Pour vous, on a programmé les 12 salopards...
Bref, si j'expose de long en large mes théories aventureuses, mes réflexions de pilier de bar victime de lithotomie ou mon faciès de blaireau constipé, ce n'est pas seulement pour provoquer rires nerveux, malaises sociaux ou fuite éperdue vers les issues de secours. Non non non et non. Pas de ça chez moi.
Non, rien de tout ça. Rassurez-vous, il n'y a de ma part aucune volonté de nuire.J'en suis arrivé à un âge et à un état mental qui m'interdisent de souhaiter du mal à mon prochain. J'ai atteint la maturité, une forme de sagesse même, sans doute liée à la baisse drastique de mon taux de testostérone mais bon, on a rien sans rien. De toute façon, comme je dis souvent : "tellement de cons, si peu de munitions..."
C'est donc dans une atmosphère totalement zen, proche de l'harmonie karmique (d'ailleurs Peggy a préféré partir avec un collègue) que je commence l'année 2024. Rien ne peut m'atteindre au niveau de la méditation transcendantale. Poil au Jackall.
Sur ce, gros bisoux et à bientôt pour de nouvelles grosses bredouilles aventures trépidantes !!!
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