Ah mes enfants, quel titre !!! Quel choc, quelle puissance, quel souffle épique, on sent qu'on entre de pleins pieds dans le grandiose, non ? Non ? Quel manque d'enthousiasme mais bon, bref, passons. Donc, oui, le calendrier est formel, les jours se suivent. Aujourd'hui, disposant de deux heures pour aller faire le zazou canne en main autour de ce qu'il reste de flotte, j'avais décidé de traquer le bass. Avec des leurres encore inusités depuis le premier confinement, c'est dire !!! Pendant la pause méridienne, j'avise un accès à la rivière que je ne connaissais pas. Du coup, j'essaye une vingtaine de minutes et... Je loupe lamentablement une tape de brochet dans mes pieds. Il en reste donc au moins un...
Quand sonne l'heure de ma session, je suis prêt à faire feu, on va voir ce qu'on va voir. Et en fait, aïe aïe aïe...
Va falloir revoir les ambitions à la baisse, pied-tendre. D'autant que je suis en chaussures pas trop cradoques et qu'il va me falloir pêcher avec la silhouette bien découpée sur le ciel dans une eau très peu profonde. Hmmmm, ça sent le dépôt de bilan.
Et bien finalement, j'évite la bredouille. Ce qui est l'essentiel. Par contre, les bass sont devenus particulièrement méfiants sur ce bief, ce n'est rien de le dire. J'en décroche trois (plus quelques perchettes à la gloutonnerie présomptueuse) avant de renoncer devant l'inanité de mes efforts. J'ai l'impression qu'on rentre dans le dur...
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